To pimp a butterfly

Après "Good Kid M.A.A.D. City" (qui contenait notamment "Bitch don't kill my vibe"), Kendrick Lama rélargit dans cet opus sa palette de sons, en puisant dans des courants musicaux essentiels pour en faire un objet hyper et totalement réussi. Il est question notamment de P-Funk (le morceau d'ouverture, avec, la présence du maître lui-même : George Clinton) mais aussi de jazz et évidemment de hip-hop.